370 veuves… et 9 blessées

En faisant des recherches sur mes ancêtres pendant les guerres de Vendée, j’en suis arrivé à consulter plusieurs registres un peu postérieurs conservés aux Archives départementales des Deux-Sèvres. Ils datent du début de la Restauration (vers 1815). Comme Louis XVIII veut récompenser ceux et celles qui ont pris le parti de la royauté au moment de la Révolution, il a fait établir des listes de combattants, de blessés ou de veuves ayant droit à pension. J’ai déchiffré et classé les noms de 379 femmes à partir de plusieurs registres. Presque toutes (375) habitent les arrondissements de Parthenay et de Bressuire. 366 sont des « veuves de militaires de l’armée vendéennes » et 9 sont des blessées lors de ce conflit. 4 autres femmes résident hors du département, mais sont indemnisées dans les Deux-Sèvres. Plus de 20 années se sont écoulées depuis la première guerre de Vendée. Nous n’avons donc pas les noms des nombreuses veuves et blessées décédées entre 1793 et 1815. Et ce relevé est sans doute loin d’être complet. Malgré ces manques, qu’y apprend-on ?

Les veuves et les blessées

La liste renseigne sur le métier, la commune de résidence et l’âge de ces 379 femmes.

pyramide age
Pyramide des âges des veuves en 1816

Les 9 femmes blessées ont entre 27 et 50 ans, la plus jeune l’a été à l’âge de 6 ans. La nature des blessures étonne parfois. Si la plupart sont victimes de coups de feu ou de coups de sabre, une se plaint de varices attrapées au Mans et une autre  d’une hernie attrapée à Boismé ! Les veuves disent avoir entre 38 et 84 ans, elles avaient donc entre 17 et 63 ans quand elles ont perdu leur mari vers 1793. Il y a peu de femmes de moins de 50 ans car les mariages étaient souvent tardifs dans le nord des Deux-Sèvres et l’époque n’incitait pas à convoler en justes noces. La mortalité naturelle fait baisser rapidement la pyramide, passé 65 ans, les veuves les plus âgées ont pour beaucoup rejoints leur mari dans la tombe. Les plus jeunes ne sont pas remariées pour la plupart. La guerre était passée par là et il ne restait plus beaucoup d’hommes célibataires.

Cela explique que 248 sur 379 (65%) se déclarent indigentes. Elles n’ont plus de mari et dépendent de leurs enfants ou de leurs proches pour subsister. 2 autres disent n’avoir aucune profession, mais, à l’inverse, ce sont les seules à avoir une situation aisée. Pour les 119 qui déclarent travailler, elles sont fileuses (76), journalières (33), gagées (3), bordières (2), couturières (2), blanchisseuse (1), marchande (1) et métayère (1). Quant aux 9 femmes blessées, elles se déclarent indigentes (6), fileuse (1), journalière (1) ou gagée (1). Pourquoi les femmes qui travaillent se déclarent-elles en majorité (77 sur 122) fileuses ? Je m’en étonne car, même si le métier des femmes est rarement renseigné à l’époque, quand il apparaît sur les actes, je vois presque toujours servante, journalière ou domestique et non fileuse. Filer était une activité pratiquée par de nombreuses femmes autrefois, pas vraiment un métier. Écrire « fileuse » est sans doute un moyen de ne pas mettre « indigente » ou « pauvresse ».

Les communes où elles résident sont, pour beaucoup et de toute évidence, les mêmes que 20 ans auparavant ! Certaines communes ont payé un lourd tribut. C’est un milieu rural et limité géographiquement au nord-ouest du département qui est concerné. Il n’y a que 5 femmes qui habitent des villes plus importantes (2 à Bressuire, 2 à Thouars et 1 à Poitiers).

Les militaires

maupilier.jpg
Jacques Maupilier, soldat de Boismé

J’apprends aussi beaucoup sur les « militaires » deux-sévriens morts pendant cette guerre. Cela complète les sources que j’avais listées pour trouver les décès. Le registre donne leur grade. Ils sont presque tous (367 sur 370) soldats, leurs veuves reçoivent pour la plupart une pension de 40 ou 50 francs. Il y a aussi un chef de division, un capitaine et un colonel. La veuve du capitaine reçoit 180 francs, celles du chef de division et du colonel 400 francs. Les ex-conjointes du capitaine et du colonel sont les mieux traitées alors qu’elles sont les seules à ne pas être dans le besoin et à déclarer n’avoir aucune profession.
On apprend surtout le lieu du trépas des militaires, et parfois les circonstances. Beaucoup (68) sont décédés dans le village où ils habitaient auxquels il faudrait sans doute ajouter ceux qui sont morts (à peu près autant) dans une commune voisine ou proche du domicile. On peut supposer que nombre de ceux-ci ont été des victimes des représailles républicaines lors des colonnes infernales.
Beaucoup également ont péri lors des grandes batailles ayant opposé l’armée républicaine à l’armée vendéenne. Celles de La Châtaigneraie (34 morts) et de Luçon (30 morts) furent apparemment meurtrières pour les troupes vendéennes venues des Deux-Sèvres. Le passage de la Loire et la virée de Galerne furent aussi particulièrement coûteux en vies humaines (30 morts dans le passage de la Loire, 3 à St Florent, 8 au Mans, 1 à Savenay, 1 à Granville…) En lisant tous ces lieux, on parcourt presque tous les combats des guerres de Vendée (Fontenay, Doué, Le Bois-aux-Chèvres, Vezins, Cholet, Thouars, Parthenay, Angers, Nantes, Noirmoutier, Beaupréau, Bressuire, Chinon, Saumur…) Certains sont morts en se battant, d’autres ont été exécutés. Les nombreux morts de Niort (24) ne correspondent pas à une bataille : ils ont été guillotinés ou sont décédés en prison. Pour quelques personnes, j’ai un renseignement plus précis sur les circonstances : Jean Robin est fusillé à Chanteloup ; Pierre Foullée, Gounord et Jean Reveillaux sont guillotinés à Niort ; Louis Morin est mort en prison à Niort.

Mes veuves et mes « soldats »

Quoi que l’on pense des guerres de Vendée, je ne voudrais pas laisser une vision uniquement comptable de cette recherche. Ce sont des hommes et des femmes qui ont pour beaucoup été entraînés dans une aventure qui les a dépassés. Ils ont traversé l’Histoire au mauvais moment, certains en y participant, d’autres en la subissant. En voici quelques uns qui appartiennent à mon arbre.
– Je connais maintenant un peu mieux la vie de Marie-Thérèse Cornuault (ma SOSA 203). Cette journalière de Chiché, mère de 5 enfants avait perdu son mari (et mon aïeul) Pierre Boulord en 1789. Elle s’était remariée 2 ans plus tard, le 14 juin 1791, avec un domestique, Louis Pilet. Cette liste vient de m’apprendre que ce dernier est décédé à Thouars, sans doute le 5 mai 1793, lorsque les Vendéens ont pris d’assaut cette ville. En 1815, Marie-Thérèse Cornuault a 69 ans, elle ne s’est pas remariée, elle dit être indigente et touche 50 francs de pension.
– De la même façon, je découvre que Jacques Chesseron de Moncoutant, le frère d’un aïeul, est décédé à Châtillon (aujourd’hui Mauléon) peut-être lors de la bataille du 5 juillet 1793. Bien que ce fut une victoire de l’armée royale, 2000 Vendéens perdirent la vie ce jour-là. Il laisse 4 jeunes enfants et une veuve Jacquette Bruneau. En 1815, seule et indigente, elle a alors 56 ans et a droit à 40 francs de pension.
– Je m’interroge sur Jean Blais, frère d’une ancêtre et époux de Perrine Roy, ce bordier père de 3 enfants est déclaré mort à Châtillon, je savais déjà qu’il était décédé pendant les guerres de Vendée, suite à différents témoignages aux mariages de ses enfants, mais le lieu m’étonne car je sais qu’il est père en juin 1794, et peut être même en mars 1795 ce qui est peu compatible avec les dates des 2 batailles de Châtillon en 1793. Peut-être y est-il mort en d’autres circonstances ? Quoi qu’il en soit, Perrine Roy, sa veuve journalière de 51 ans, perçoit 40 francs en 1815.
– Je savais déjà grâce aux registres paroissiaux qu’Augustin Berthelot, père de 5 enfants, époux de Marie Jeanne Bironneau et beau-frère d’une ancêtre, était décédé le 19 janvier 1794 dans son village de Pugny. Ce que j’ignorais, c’est que son décès était lié aux guerres de Vendée. 4 autres femmes de la commune déclarent avoir perdu leur mari à Pugny. En 1815, Marie Jeanne Bironneau, indigente de 68 ans, perçoit 50 francs elle aussi.

Si, comme moi, vous voulez savoir si vous avez un ancêtre des Deux-Sèvres mort pendant les guerres de Vendée, la liste que j’ai saisie est accessible sur le blog du Cercle généalogique des Deux-Sèvres.

12 commentaires sur “370 veuves… et 9 blessées

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  1. Bonjour,
    Peut-on retrouver dans les archives des Deux-Sèvres les dossiers des demandes de pension comme dans les archives du Maine et Loire où j’ai pu retrouver le document du chirurgien qui a soigné mon arrière-arrière grand-père paternel enfant rescapé du massacre de sa famille ?
    J’aurais bien aimé retrouver le dossier de demande de pension de Perrine Gabilly de Saint Aubin de Baubigné car elle était remarié avec mon ancêtre René Poirier et je ne peut aller plus loin dans ma généalogie car dans les états civils des Deux-Sèvres il manque beaucoup d’années et sans son acte de naissance et de mariage, impossible de remonter aux générations suivantes.
    Il y a aussi la liste des victimes du 79 dans les archives du fort de Vincennes qui sont maintenant publiées dans les archives de Vendée.
    Merci pour votre travail.

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    1. Il y a, conservés aux AD des Deux-Sèvres comme pour le Maine-et-Loire, des dossiers de pensions déposés par des anciens soldats royalistes des guerres de Vendée. Ce sont surtout des hommes, blessés suite à la guerre, mais il y a quelques femmes (des veuves pour la plupart). J’ai vérifié sur la liste saisie aux AD. Il n’y a malheureusement pas de dossier au nom de Perrine Gabilly sur Saint-Aubin-de-Baubigné. Merci de rappeler que l’on trouve en Vendée des listes similaires à celles que j’ai saisi pour Genea79. Il peut être intéressant de les recroiser.

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  2. J’ai trouvé dans la liste des dossiers celui d’un couple d’ancêtres de la maman d’une amie. Mariés à Breuil-Chaussée, habitants de Brétignolles, il s’agit du couple Marie SAVARIAU (originaire de Vendée – née je crois à St Pierre du Chemin) et Jacques MAGUY (et non MAGNY) des Deux-Sèvres. Une interrogation : Marie SAVARIAU, normalement demandeuse de la pension, décède à Brétignoles le 30/09/1815. Elle n’a pas dû avoir le temps de percevoir la pension! J’ai trouvé dans le mariage de leur fille, Marie Magdeleine, à Noirterre le 09/11/1808, la mention : « journallier décédé pendant la guerre civile de la Vendée dont on n’a pas pu se procurer l’acte de décès ». Merci et félicitations pour ce beau travail! Meilleures salutations. PB

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  3. Bonjour Monsieur, et bravo pour cette étude documentée. Je rejoins pleinement votre opinion pour les « fileuses ».

    Les demandes de pension conservées aux archives n’offrent qu’un petit aperçu de l’ampleur de « l’insurrection » vendéenne, qu’elle soit de la première heure, qu’elle soit motivée par l’arrivée de l’armée de Mayence ou par celle des colonnes dites infernales. Elles ne sont que la partie visible de l’iceberg, et elles donnent déjà quelques fois la nausée…

    Et comme vous le dites d’abord si bien, les morts n’ont pas fait de demandes de pension, ensuite, pour préciser, certains dossiers se sont perdus, plusieurs demandes de pension de 1825 en témoignent en Maine-et-Loire, enfin aussi surprenant que cela puisse paraître, certains soldats vendéens n’ont pas fait de demandes de pension, n’en ressentant pas le besoin, et je crois aussi par honnêteté envers les veuves ou les orphelins.

    Malgré cela ces demandes de pension intéressent l’Histoire à plus d’un titre. Elles doivent être aussi confrontées aux registres d’état-civil, aux chroniques locales, qui ne mentent généralement pas sur les faits, malgré leurs appréciations quelques fois tranchées…

    Il y a eu de nombreux massacres de civils par les troupes républicaines, avérés, pendant la guerre de Vendée. Massacres de femmes, violées, enceintes, grabataires, massacres (et pas seulement des fusillades…) d’enfants, en bas-âge, de nourrissons, de vieillards, parfois en couple. Tout cela est attesté. Quelques fois justement dans les demandes de pension.
    Mais voilà, on dit que la guerre de Vendée a été une guerre civile, seulement, de tels massacres n’ont pas été commis par les vendéens, dans le petit pays angevin tout au moins, c’est-à-dire entre Angers, le Layon et Brissac, et pas plus il me semble en Vendée angevine.
    Vous qui êtes habitué des archives, avez-vous connaissance que des massacres de civils aient été commis par les troupes vendéennes dans les Deux-Sèvres ?

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  4. Massacre de civils peut-il avoir le même sens, selon qu’on parle des massacres perpétrés par les bleus sur les familles vendéennes non combattantes ou des familles d’habitants de la Vendée gagnés aux idées de la République et considérés alors par les insurgés vendéens comme des collabos? Je mélange volontairement des vocabulaires d’époques différentes. Si des fonctionnaires républicains originaires de la Vendée ont pris quelques coups de fourches ou de faux, s’agit-il de massacres de civils? Il ne faut pas oublier que la période de prise en compte des victimes vendéennes va de 1815 (retour de Louis XVIII) à 1830 (Charles X renversé). Ensuite, sans pouvoir l’affirmer, Louis-Philippe, fils de Philippe Égalité est peu susceptible d’avoir poursuivi l’oeuvre de ses cousins. Parallèlement, les familles des éventuels supposés républicains assassinés par les vendéens ne pouvaient « se plaindre » de 1815 à 1830.

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    1. Je ne pense pas qu’il faille comparer les guerres de Vendée avec l’épuration après 39-45. Ça ne me semble pas pertinent. Pour le reste, vous avez raison, il est évident que, en terme de violences, les Républicains n’ont pas le beau rôle, même s’il y en a eu (des violences) des 2 côtés et qu’aucune n’est excusable : les massacres, et les coups de fourche et de faux aussi. Les guerres sont toujours cruelles, d’autant plus quand il s’agit de guerres civiles.

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  5. Merci pour ces réponses. Ma question n’avait pas l’intention de reveiller de vieilles querelles. Mais de savoir s’il y avait eu dans les Deux-Sèvres des massacres commis par les « vendéens » à l’encontre de ceux qu’on appelait les patauds, des familles qui avaient choisi le parti républicain.
    L’étude de plus de deux cent mille actes d’état-civil, pour le sud du petit pays angevin, n’en a révélé que très peu. Et excepté un garçon de 15 ans à Denée et une femme (du côté de Gonnord, dans les Mauges), toutes les victimes des « vendéens » sont des hommes des municipalités républicaines qui ont dénoncé leurs voisins et les ont ainsi condamnés à mort (on trouve dans la série Q aux archives départementales de Maine-et-Loire des dénonciations de brigands, parfois de la moitié des habitants d’une commune, parfois de « petits enfants »…), ou des hommes qui font partie des gardes nationales, qui combattent parfois, mais arrêtent plus souvent les « suspects », la plupart du temps des femmes et leurs enfants, femmes et enfants qui pour moitié mourront fusillés ou en prison.
    Ces assassinats commis par les « vendéens » ne prennent quasi jamais le caractère monstrueux qu’on retrouve dans les exactions des colonnes infernales.
    A Mozé pour prendre un exemple précis qui sera l’exception qui confirme la règle, on trouve le maire de la commune assassiné avec quatre autres hommes fin juin 1794, cinq mois après le passage de la colonne du général Moulin, après la dénonciation de 337 brigands, la plupart hommes, mais aussi quelques femmes et enfants (ADML 1 Q 913). Les « vendéens » lui arrachent les yeux, sort lugubre réservé autrefois lors des révoltes paysannes aux agents de la monarchie, et entassent les cinq cadavres. C’est le seul cas connu dans le petit pays angevin. Il y en a eu un autre je crois du côté de Saint-Florent-le-vieil. A chaque fois ce sont des hommes qui sont tués. Ni des femmes, ni des enfants. Et encore moins des nourrissons. A chaque fois les meurtres sont enregistrés par l’état-civil. Quand il s’agit de maires, la Convention nationale attribue par décret une pension pour la veuve et le cas échéant ses enfants, en l’occurence pour la veuve du maire de Mozé, 600 livres.
    Ma question est à la recherche de réponses factuelles. L’état-civil, les registres gardent traces du passé, des meurtres commis sur les civils quand ils n’étaient pas brigands.
    Et à étudier ces registres, mais aussi les répertoires d’actes de notoriété, on ne voit à quelques exceptions près que des hommes tués par les « vendéens », pour la parie angevine de la Vendée militaire du moins.
    Quand il y a dans les victimes d’une guerre d’un côté des hommes appartenant tous au même régime et de l’autre des populations, femmes, enfants, vieillards, et hommes aussi, parfois patriotes, s’agit-il d’une guerre civile ? Et peut-on parler de guerre civile sous la Terreur ?
    Voilà les questions qui animent la question initiale.

    Les massacres de civils, et plus encore ceux des femmes et des enfants, ont le même sens. Quant aux fonctionnaires républicains, quand ils servent la Terreur, et l’arbitraire, restent-ils de simples employés municipaux ?

    Les faits, actés, pourront seuls éclairer cette histoire…

    Aimé par 1 personne

  6. bonjour
    je me permets de venir vous solliciter pour retrouver la trace de mon sosa, Jean Baptiste Brossard dit « décédé en lais guaire de Vandais » sur l’acte de mariage de son fils Louis. Né le 24/9/1748 à Terves de Pierre et Renée Brossard, il avait épousé Marie-Jeanne De Forest le 1er juin 1779 à Terves. J’ai d’ailleurs retrouvé Marie-Jeanne dans votre liste des veuves ayant droit à cette pension. Par contre, rien sur son époux… le lieu où il est décédé par exemple. Je pensais voir son nom dans les registres de Terves mais non ! Que me conseillez-vous de faire pour m’approcher le plus possible de lui? Je ne sais pas beaucoup de choses sur les détails de ce conflit civil mais je ne demande qu’à apprendre…
    J’ai eu beaucoup de mal à retrouver la trace de sa veuve.. qui en fait s’était remariée et est décédée après son 2d époux (lu sur l’acte de décès de Marie-Jeanne: « veuve de Pierre Bourraud (Bonnaud? décédé à la bataille du Cornet en 1815 »)… bataille du Cornet ???????????????? Je ne sais pas à quoi correspond cette bataille.
    J’espère ne pas abuser de votre temps ni de votre gentillesse… je vous souhaite une très belle fin de journée et vous remercie chaleureusement pour votre écoute et tout ce que j’apprends en lisant vos articles.
    Bien à vous, Isabelle

    Aimé par 1 personne

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